Après avoir perdu une journée en tracasseries administratives, nous profitons enfin de Fez en compagnie de nos amis Clara et Rémi. Pendant que nous déambulions entre les administrations, eux visitaient. Ils nous ont servi de guide.
L’ambiance des médinas le soir est vraiment particulière. C’est dépaysant. J’ai beaucoup aimé Fez.


















Nous sommes partis le matin tôt pour profiter des monuments sans la foule. Cela vaut vraiment la peine de sacrifier la grasse matinée . L’ambiance change quand les touristes débarquent par car entier. Prendre une photo sans personne parasite tient de l’exploit.




Les tanneries sont très réputées. De bonne heure, l’odeur n’est pas trop pénible. Le travail lui l’est en revanche.
Après avoir refusé de multiples invitations pour voir les tanneries depuis les toits (et les boutiques), nous arrivons dans la tannerie et nous pouvons voir les ouvriers.











Nous partons ensuite à la recherche du musée Nejjarine des arts et métiers du bois. Le bâtiment est magnifique et les collections sont intéressantes. Les photos des vitrines sont interdites. Nous y voyons divers outils, meubles et portes. Nous trouvons également des plaquettes de bois écrites qui sont le recueil des lois et actes notariés de l’époque.








En déambulant dans la médina, nous entrons chez un tisserand. Il travaille notamment les fils d’agave, appelés soie végétale.


Nous découvrons également un magasin d’antiquités et de copies d’antiquités. Une merveille ! Evidemment, le tarif des pièces est hors budget (même si nous avions la place ! ). Mais pour le plaisir des yeux, c’est une étape à faire.












J’ai adoré me balader dans la médina. Malgré un grand nombre de touristes, nous avons pu profiter du charme de cet endroit.

























Les sollicitations sont nombreuses dans les échoppes et je dois reconnaître que j’ai parfois craqué ! J’ai beaucoup affiné ma technique de marchandage. Comme je ne suis pas patiente, je quitte le magasin assez vite et du coup, les prix baissent vite 😉 Une veste est passée de 350 à 150 mad , des babouches de 180 à 80 mad. Plutôt contente. Le commerçant a certainement fait du profit, mais c’est normal, il faut bien qu’il vive.